Dimanche 21 février 2010
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14:44
Commentaire reçu de M.O. relatif à mes articles 296 et 297 :
"Nous aimerions lire votre avis éclairé sur le livre de Allègre, sur le réchauffement climatique (sujet plus intéressant que la vie des homosexuels)."
Ma réponse
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La liberté d'opinion existe encore (un peu) dans notre pays. Je suis de votre avis, le changement climatique est plus intéressant que la vie des homosexuels. Je
réagissais à l'actualité.
-
Un blog est cependant généralement un journal personnel, mis en ligne, et accessible à ceux qui veulent bien se connecter.
-
Mon blog n'est pas un journal thématique et j'y aborde, suivant mon humeur, les questions d'actualité qui m'interpellent, qu'elles soient locales, nationales ou
internationales.
-
Le réchauffement climatique n'est en rien un sujet d'urgence, comme le gouvernement et les écolomaniaques tentent de nous le faire croire. C'est un sujet de long
terme. Les climats de la Terre ont toujours fluctués, même quand il n'y avait pas d'hommes sur la Terre. Comme géologue, mon avis est proche de celui d'Allègre ou de Courtillot. Je prépare
d'ailleurs un article, simple, à ce sujet qui sera publié sur mon site http://casanova.fr dans la rubique "Actualités", colonne de droite. Pour le moment j'y
rassemble, à temps perdu, les documents nécessaires à l'écriture de l'article.
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Sensibiliser des enfants de 8 à 10 ans à l'homosexualité, me semble hors de propos et devrait être laissé à l'appréciation des parents. L'école primaire est
destinée d'abord à l'acquisition des savoirs élémentaires. Avec 15% des enfants sortant de l'école primaire sans savoir ni lire ni écrire, la priorité me semble devoir être de se concentrer sur
ce véritable et plus grave problème d'actualité.
Mercredi 3 février 2010
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19:03
On a le choix, ou pleurer ou sourire jaune, une fois de plus.
"Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé ne serait que pure coïncidence !"
Communiqué d'un lecteur : "N'attribuez jamais à de la malignité ce qui peut s'expliquer bien plus simplement par de la bêtise" (Bertrand Russell)
Dans le blog http://abusdesmaires.canalblog.com
"République" bananière ou Royaume bananier.
Images de Pierre Collenot
Dans le blog http://tuasvucequetuasfait.over-blog.com
Jeudi 21 janvier 2010
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19:07
Le prochain conseil municipal traitera de la restructuration de l'école.
En attendant chacun peut constater que des arbres sont coupés dans le terrain en face de l'école et de la salle polyvalente.
D'après le bulletin municipal (voir mon article du 24 septembre 2009, n° 261), et d'après la rumeur, il semble bien que la municipalité soit décidée à implanter la cantine scolaire sur ce terrain.
Toujours d'après la rumeur, la raison du choix de ce site d'implantation est que les terrains autour de l'école ne seraient pas constructibles. Evidemment il s'agit d'une fausse rumeur (comme
souvent).
Pour ceux que ça peut intéresser (à priori tous les parents d'élèves), voici, ci-dessous un extrait du POS.

Les zones UB et UBa sont constructibles, d'après le règlement du POS, aussi bien pour des habitations que pour des équipements publics (l'école en est un).
Si vous vous reportez à l'article 261 du même blog, vous pourrez constater que les surfaces de terrains constructibles ne manquent pas autour de l'école. Il n'est donc pas utile, et il est
dangereux, d'envisager une extension de l'école hors du périmètre protégé de la circulation automobile. L'emplacement réservé n° 14 (au POS)
a été prévu pour agrandir le stationnement des véhicules pour l'école et la salle polyvalente. Y prévoir maintenant l'extension de l'école est un non-sens, pour la
vie scolaire.
Je me demande si les représentants des parents d'élèves et plus généralement les parents d'élèves, ont pris la mesure de cette décision
municipale.
Dimanche 27 décembre 2009
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10:45
Lu dans les médias :
« Ceux qui croient que le pouvoir est amusant confondent "pouvoir" et "abus de pouvoir".
André Malraux
« Pour qu'on ne puisse abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses,
le pouvoir arrête le pouvoir »
Montesquieu
in Manager la performance
par
Saïd AGBANRIN
et toute l’équipe MANE GERE ASSOCIES
Pour lire l'article en entier : http://www.manegereafrique.com/article.php?aid=59&pmv_nid=2
En démocratie, les contre-pouvoirs sont exercés par la société civile, les associations et les citoyens, dans le cadre de la Loi.
Samedi 14 novembre 2009
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On me communique la lettre ci-après adressée, le 11 novembre 2009, par l'entreprise MIP-Prestige (de Nadine et Patrick DIOP) à M. le Maire d'Ampus.
"Monsieur le Maire,
J’ai le regret de vous faire savoir, que, comme je le pressentais, mon acquéreur renonce à l’acquisition de mon autorisation de stationnement n°1 sur Ampus. Les raisons invoquées sont les
tracasseries administratives à Ampus. Il me fait savoir par ailleurs que vous lui avez téléphoné hier soir, le 10 novembre 2009, entre 16 et 17 heures, pour lui dire que « tout se débloque ». Hélas
trop tard pour notre petite entreprise, qui est désormais en situation délicate, en cessation de paiement, car elle ne peut faire face à un manque de trésorerie de 120 000 euros. Dans ces
conditions, pour ne pas me retrouver dans la même situation avec un éventuel autre acquéreur ou locataire que je vais maintenant rechercher dans l’urgence, et avant toutes éventuelles procédures
contentieuse à l’encontre de vous-même et de la Mairie d’Ampus, je vous demande instamment de bien vouloir établir un arrêté municipal attestant de mes droits de stationnement de taxis sur la
commune d’Ampus, sans lequel toute démarche commerciale serait, comme la précédente vouée à l’échec. Cet arrêté est justifié par l’ensemble du dossier entre vos mains, et, finalement, vos derniers
propos à monsieur Hugues Sogny, mon acquéreur, aujourd’hui perdu, par lesquels vous lui avez affirmé « qu’il n’y avait plus de problèmes et que vous étiez heureux de l’accueillir sur la commune
d’Ampus ». Afin de prévenir toute ambiguïté pour les opérations à venir, je vous demande donc de récapituler dans votre nouvel arrêté, la liste des autorisations antérieurement obtenues et surtout
les dates d’obtention. Par la même occasion je vous serais obligé de bien vouloir préciser (ou rappeler ) les emplacements des six autorisations obtenues jusqu’ici. A savoir :
1. Une autorisation (taxi n°1) du 31 décembre 1992, abrogée le 30 avril 1993 et reprise le 1er juin 1993, place de la Mairie.
2. Une autorisation (taxi n° 2) du 16 octobre 1996, modifiée le 24 février 1997 et confirmée le 02 janvier 1998, place Neuve.
3. Une autorisation délivrée le 25 novembre 1998, par arrêté municipal, place Neuve.
4. Une autorisation délivrée le 25 novembre 1998, par arrêté municipal, boulevard Clémenceau.
5. Une autorisation délivrée le 25 novembre 1998, par arrêté municipal, devant la salle polyvalente de l’Eglisonne.
6. Une autorisation délivrée le 25 novembre 1998, par arrêté municipal, place des chênes verts à l’Eglisonne.
..."
Mon bref commentaire :
Pour mémoire je rappelle que Nadine LIONS et Patrick DIOP se sont mariés à Ampus.
Nadine est la sœur de Thierry et la fille de Félix et Jacqueline LIONS, une très vieille famille d’Ampus (Jacqueline elle est originaire de Comps/Artuby). Félix était éleveur et Nadine a réussi la
gageure de vivre et travailler au pays, hors de la ferme familiale.
Aujourd’hui, elle est chef de deux entreprises (Chez Nanou et MIP-Prestige), créées il y a 16 ans. Elle est assistée de Patrick , son époux, qui a le statut de conjoint–collaborateur.
Ils emploient une douzaine de personnes et sont les plus gros contribuables d’Ampus, au titre de la taxe professionnelle, dont le montant annuel dépasse 30 000 euros. Taxe désormais versée à la
CAD.
Il semblerait, à la lecture des courriers adressés au Maire, qu'ils soient devenus "persona non grata".
J'espère que ce climat se dissipera bientôt car rien ne justifierait, à ma connaissance, un acharnement administratif contre cette petite entreprise, et on voit encore moins quel serait l'intérêt
pour Ampus de sa disparition .
Puis-je risquer une question ? Pour pouvoir travailler , ces deux entrepreneurs ne devraient-ils pas faire allégeance au "suzerain" d'Ampus ?
Ça me rappelle les bourgeois de Calais.
Ça me rappelle aussi que l'histoire est pleine (de la Grèce antique à nos jours, en passant par Rome) d'élus qui se sont transformés rapidement en tyranneaux et parfois en tyrans.
A moins tout simplement, dit-on , que le pouvoir rende fou (in Les drogués du pouvoir, par Jacques Baguenard.
Edition Economica. 2006).
Bonne journée.
Jeudi 12 novembre 2009
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19:36
Bonjour,
Je viens d'être destinataire de la lettre ci-dessous adressée par l'entreprise MIP-Prestige (Patrick et Nanou Diop) à M. le Maire d'Ampus, le 07 novembre 2009.
Si elle ne traduisait pas la détresse d'une petite entreprise qui se bat depuis 16 ans pour exister sur notre commune, elle pourrait être une illustration de l'article précédent sur Noé et le déluge.
"Objet : cession autorisation de stationnement taxi
Référence : lettre A-RA de Maître COSMANO du 03 novembre 2009, reçue le 06 novembre 2009.
Monsieur le Maire,
J’ai bien reçu le courrier de Maître Virginie COSMANO, qui s’est présentée comme le conseil de la Mairie d’Ampus. Vous voudrez bien en trouver ci-joint une copie.
Ce courrier m’interpelle à plus d’un titre.
Tout d’abord, sur la forme.
J’ignorais qu’il y avait un contentieux entre la mairie et mon entreprise, nécessitant l’intervention d’un avocat suite à ma demande administrative mentionnée en objet .
Il me revient cependant que lors de notre dernière rencontre dans votre bureau, où vous m’aviez convoqué pour des questions de stationnement de véhicules, vous étiez là encore assisté d’un
avocat.
Je vous serai obligé de me faire savoir, en tant que contribuable d’Ampus et de la CAD, si les avocats que vous mandatez, interviennent à titre bénévole ou s’ils sont rétribués sur le budget la
commune. Dans ce dernier cas je suppose qu’une délibération du conseil municipal a été prise et je vous serais obligé de m’en communiquer une copie, à mes frais, comme une copie de la lettre de
mission que vous auriez adressée aux deux avocats qui vous assistent lorsque je suis concerné par de simples questions de voirie ou administratives. En un mot , la procédure que vous adoptez pour
des affaires de simple gestion communale est-elle habituelle pour tous les administrés ou suis-je l’objet d’une spécificité procédurale, avec recours systématique à un avocat, puisque les
interventions de ces conseils ont été jusqu’ici plutôt du genre agressif ?
Cette interrogation me semble légitime, puisque la commune d’Ampus est membre de la CAD, avec 15 autres communes, dont celle de Draguignan et que vous avez su, pour un précédent dossier présenté
par mon fils Mickaël DIOP , vous renseigner auprès de la ville de Draguignan (sans passer par un avocat) sur les modalités de location des taxis. Vous n’avez cependant pas répondu à sa demande, le
contraignant ainsi à abandonner son projet de création d’une nouvelle entreprise sur la commune.
Vous comprendrez sans doute aisément, les dossiers administratifs en cours faisant suite à plusieurs incidents (en particulier une voie de fait sur notre propriété de la Grange Rimade) que je sois
perplexe sur les méthodes d’instruction des dossiers administratifs que vous présente la famille DIOP. En conséquence, je me réserve le droit de saisir la HALDE (Haute Autorité de Lutte contre les
Discriminations et pour l’Egalité) pour discrimination manifeste et répétée, semble-t-il liée à mon patronyme.
Sur le fond du dossier cité en objet et comme suite au courrier de Maître COSMANO
Je voudrais donc vous présenter la vérité administrative et les faits, qui semble avoir partiellement échappé à votre avocat.
En préalable cependant, voici quelques remarques :
- devant votre inertie et votre apparente obstruction sur ce dossier commercial, qui ne présente aucune difficulté particulière, j’ai saisi Madame la Sous-Préfète de Draguignan,
avec toutes les pièces qui sont par ailleurs en votre possession, espérant que l’objectivité de l’Etat permettra de mettre un terme à ce dossier.
- je rappelle que votre inertie est de nature à compromettre l’existence d’une quinzaine d’emplois. Ce qui par les temps qui courent est proprement insupportable.
- Lorsque l’acquéreur de l’autorisation de stationnement est venu en mairie pour s’inquiéter de l’état d’avancement du dossier vous avez tenté de le dissuader d’acquérir. Ce
faisant il m’a écrit émettre des réserves sur la poursuite de la vente, en s’appuyant sur vos propos. Vous conviendrez alors que vous vous êtes immiscé, Monsieur le Maire, dans une opération
privée qui n’est pas de votre ressort, une transaction commerciale entre privés.
- Aussi, si par suite de vos manœuvres et de votre inertie, je devais envisager la fermeture de mon entreprise et le licenciement de mes salariés, votre responsabilité serait
engagée et je demanderais aux tribunaux de condamner la Mairie d’Ampus à la juste réparation du préjudice subi.
Maintenant je puis analyser le courrier reçu de votre « Conseil » et rétablir la vérité.
En effet, ce courrier est pour le moins curieux. Exemples :
1° « Monsieur le Maire m’a remis copie de la correspondance que vous avez cru bon lui adresser en date du 30 octobre 2009 aux terme de laquelle vous répondez à sa correspondance du 28 octobre
2009, laquelle vous demandait… »
Effectivement j’ai répondu point par point à la demande du maire et l’expression « vous avez cru bon … » est pour le moins déplacée. J’ai répondu tout simplement à la demande du Maire.
2° Votre « Conseil » reprend et énumère les questions que vous me posiez dans votre lettre AR du 28 octobre 2009. Il conclut dans le paragraphe suivant « Je constate que vous n’apportez aucune
réponse aux questions qui vous sont posées… » . Faut-il en déduire que votre conseil n’a pas été destinataire de ma réponse du 30 octobre AR à vos demandes du 28 octobre 2009, dans laquelle
j’ai répondu point par point ?
3° Votre « Conseil » fait état de documents que vous lui avez transmis (lettre de la Préfecture, arrêté d’abrogation de l’arrêté municipal du 31 décembre 1992), mais ne fait aucune mention de
l’arrêté du 1er juin 1993, dûment complété suite à la demande de la Préfecture, conforme et toujours valide, et remplaçant l’autorisation d’exploitation d’un emplacement de taxi n°1 de 1992. A
nouveau il faut s’interroger. Avez-vous transmis à votre conseil l’ensemble du dossier ?
4° Votre « Conseil » repose, dans un paragraphe suivant, les mêmes questions que vous posez dans votre courrier du 28 octobre 2009, et auxquelles j’ai déjà répondu le 30 octobre, avec envoi par
lettre RAR d’un complément le 4 novembre 2009, et vous l’avez bien reçu le 05 novembre 2009.
Il n’y a donc aucune ambiguïté à ce jour dans ce dossier et je ne m’explique pas, une fois de plus, les termes utilisés par votre conseil, qui préjuge qu’il ne pourra pas être donné de suite
favorable à ma demande, alors que la loi n°95-66 du 20 janvier 1995, stipule bien en son article 3 et en son article 4 les modalités de transfert d’autorisation de stationnement de taxi. Que
la présente transaction respecte en tout point. D’ailleurs dans votre courrier du 28 octobre vous mentionnez bien avoir reçu toutes les pièces.
Pour finir je ne comprends pas l’allusion de votre « conseil » qui ne verrait que des avantages à ce que j’utilise les services d’un confrère pour lui répondre. Mes courriers ne seraient-ils
pas assez clairs ? La Loi française ne serait-elle pas non plus assez explicite ? Permettez-moi alors de vous rappeler qu’en matière de justice administrative l’avocat n’est pas obligatoire
et vous prie de m’excuser si je n’ai pas donné l’impression à votre avocat ( cf. le paragraphe n°1 ci-dessus : « vous avez cru bon … » ) de maîtriser complètement le français* .
Dans l’attente de la clôture de ce dossier, par la signature par vos soins de l’arrêté sollicité, je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de mes sentiments respectueux de votre
fonction.
Patrick Amadou DIOP
*Pour mémoire, en ces temps de débat sur l’identité nationale, je ne crois pas inutile de vous
préciser que mon patronyme sénégalais DIOP, ne m’a pas empêché de savoir écrire et comprendre le français. En effet, mon grand père, déjà, était tirailleur sénégalais et depuis, mon père, mes
oncles, moi-même, ma fille et mon gendre ont épousé l’armée française et la langue française (rappel : le Sénégal est une ancienne colonie française), ce qui ne devrait pas laisser indifférent
l’ancien officier que vous êtes et que vous pouvez donc, mieux que quiconque, apprécier le chemin parcouru, depuis quatre générations, sur la connaissance du français au fil des
générations.
PJ.
Copie
à M. Le Secrétaire Général de la Sous-Préfecture de Draguignan
à Mesdames et messieurs les conseillers municipaux
à Monsieur le président de la FNAT (Fédération Nationale des artisans taxis)
à Monsieur Roger Casanova, maire honoraire d’Ampus, cité par maître Cosmano "
Mercredi 11 novembre 2009
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04:22
Le texte suivant, reçu de plusieurs sources, circule sur le web.
Il est c.. comme la Lune mais peut faire sourire (plus ou moins jaune).
Ma dernière photo de Lune
L'onnipotenza della burocrazia.
En 2009 après Jésus-Christ, Dieu visite Noé et lui dit:
- Une fois encore, la terre est devenue invivable et surpeuplée. Construis une arche et rassemble un couple de chaque être vivant ainsi que quelques bons humains. Dans six mois, j'envoie la pluie
durant quarante jours et quarante nuits, et je détruis tout !
Six mois plus tard, Dieu retourne visiter Noé et ne voit qu'une ébauche de construction navale.
- Mais, Noé, tu n'as pratiquement rien fait ! Demain il commence à pleuvoir !
- Pardonne-moi, Tout Puissant, j'ai fait tout mon possible mais les temps ont changé: J'ai essayé de bâtir l'arche mais il faut un permis de construire et l'inspecteur me fait des ennuis au sujet
du système d'alarme anti-incendie.
Mes voisins ont créé une association parce que la construction de l'échafaudage dans ma cour viole le règlement de copropriété et obstrue-leur vue. J'ai dû recourir à un conciliateur pour arriver à
un accord. Mais l'Urbanisme m'a obligé à réaliser une étude de faisabilité et à déposer un mémoire sur les coûts des travaux nécessaires pour transporter l'arche jusqu'à la mer. Pas moyen de leur
faire comprendre que la mer allait venir jusqu'à nous. Ils ont refusé de me croire.
La coupe du bois de construction navale s'est heurtée aux multiples Associations pour La Protection de l'Environnement sous le triple motif que je contribuais à la déforestation, que mon
autorisation donnée par les Eaux et Forêts n'avait pas de valeur aux yeux du Ministère de l'environnement, et que cela détruisait l'habitat de plusieurs espèces animales. J'ai pourtant expliqué
qu'il s'agissait, au contraire de préserver ces espèces, rien n'y a fait.
J'avais à peine commencé à rassembler les couples d'animaux que la SPA et WWF me sont tombés sur le dos pour acte de cruauté envers les animaux puisque je les soustrayais contre leur gré à leur
milieu naturel et que je les enfermais dans des pièces trop exiguës.
Ensuite, l'agence gouvernementale pour le Développement Durable a exigé une étude de l'impact sur l'environnement de ce fameux déluge.
Dans le même temps, je me débattais avec le Ministère du Travail qui me reprochait de violer la législation en utilisant des travailleurs bénévoles
Je les avais embauchés car les Syndicats m'avaient interdit d'employer mes propres fils, disant que je ne devais employer que des travailleurs hautement qualifiés et, dans tous les cas,
syndiqués.
Enfin le Fisc a saisi tous mes avoirs, prétextant que je me préparais à fuir illégalement le pays tandis que les Douanes menaçaient de m'assigner devant les tribunaux pour "tentative de
franchissement de frontière en possession d'espèces protégées ou reconnues comme "dangereuses".
Aussi, pardonne-moi, Tout Puissant, mais j'ai manqué de persévérance et j'ai abandonné ce projet.
Aussitôt les nuages se sont dissipés, un arc-en-ciel est apparu et le Soleil a lui.
- Mais tu renonces à détruire le monde ? demanda Noé.
- Inutile, répondit Dieu, l'administration s'en charge.
Dans l'intimité de la matière. Photo R. Casanova.
Dimanche 4 octobre 2009
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18:26
Hier matin, à 8 heures 10, alors que je remontais de la place où j'étais allé acheté mon pain, j'ai eu la désagréable surprise, avant la moindre salutation, d'être
verbalement agressé par un couple, que je connais, avec qui jusqu'ici nos relations étaient cordiales, tout simplement. Il m'a été quasiment impossible de réagir tant l'attaque était frontale et ne
laissait place à aucune nuance.
Le motif : le parc photovoltaïque, nos avis semble-t-il étant divergents sur le sujet.
Ainsi, ne pas être d'accord sur le lieu d'implantation du projet, vous fait traiter de "RIGOLO", puisque c'est le qualificatif qui m'a été assené plusieurs fois, par des gens au demeurant,
apparemment civilisés et vivant dans un pays démocratique où, a priori, tous les avis sont respectables et peuvent librement s'exprimer..
J'en ai tiré plusieurs conclusions:
1° le photovoltaïsme est une drogue dure ;
2° le photovoltaïque rend fou
3° Les intégristes du photovoltaïque sont parmi nous ;
4° L'intégrisme n'est pas aujourd'hui l'apanage de Ben Laden ;
5° La télévision et la radio sont des outils de propagande redoutables ;
6° il faut absolument faire quelque chose pour lutter efficacement contre le réchauffement climatique, sous peine de voir se développer des hystéries collectives et pour calmer les sauveteurs
auto-proclamés de la Planète Terre.
Tout d'abord une information : la Chine produit un million d'automobiles par mois et l'augmentation de sa production de CO2 est supérieure à
la production totale de CO2 en France.
A quand la vitrification des pays aspirant au confort moderne ?
Ensuite une rumeur : Une nouvelle éco-taxe est à l'étude. En effet, il faut absolument changer les habitudes des français (qui ne veulent rien
comprendre !). Aussi est- il question de taxer (le beau mot) la quantité d'air que nous respirons, puisque les humains rejettent par la respiration du gaz carbonique. Donc les sportifs (et
marcheurs et autres agités) qui ventilent activement leurs poumons paieront plus que les sédentaires. Aussi il conviendrait de commencer à privilégier le farniente sur les activités physiques. Il
est même possible que les jeux olympiques soient suspendus (on le dit) tant que la fâcheuse habitude de respirer ne sera pas sérieusement encadrée. L'idéal serait évidemment de supprimer la race
humaine de la surface de la terre, ainsi il n'y aurait même plus à se préoccuper d'énergie et les survivants, libérés de toute contrainte énergétique, pourraient à nouveau saluer (peut-être) leurs
prochains rencontrés dans les rues désertes.
Quelqu'un a-t-il des informations sur le sujet ?
En attendant voici une image de la source extra terrestre de l'énergie photovoltaïque émergeant derrière le clocher d'Ampus, bien terrestre .
Mercredi 16 septembre 2009
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09:25
L'assistance a été conquise par les qualités d'orateur de M. Richard STRAMBIO.
Mercredi 2 septembre 2009
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/2009
10:19
Remarque préliminaire :
toujours pas de réponse de "ROBERT".
Pour information un article intéressant paru dans varmatin.com, publié par
l'ADEPFA:
Signes
Conseil municipal : un projet de centrale photovoltaïque lancé
Paru le samedi 13 décembre 2008 0 commentaire(s)
Déjà très engagé en terme de développement durable, le « plus grand village du Var » vient de franchir une nouvelle étape dans sa politique écologique.
Le maire de la commune, Jean Michel, va prochainement signer un bail emphytéotique pour la construction d'une centrale photovoltaïque sur un terrain communal d'une trentaine d'hectares. La
délibération a été adoptée (un contre, une abstention) jeudi soir lors du conseil municipal.
150 000 euros par an pour la commune
Une dizaine d'entreprises, dont plusieurs étrangères, était sur les rangs mais c'est EDF énergies nouvelles qui a raflé la mise. Après d'âpres négociations avec la municipalité.
Le loyer annuel a été fixé à 4 500 € hors taxes par hectare. « Ce bail devrait nous rapporter environ 150 000 e par an. C'est considérable comparé aux 162 000 € que nous touchons chaque année avec
la taxe d'habitation », se réjouit le premier magistrat.
La municipalité a également obtenu d'EDF énergies nouvelles la possibilité de renégocier chaque année le prix du loyer. Ainsi que de revoir à la hausse les tarifs, si des capteurs photovoltaïques
plus performants étaient installés. « Nous sommes allés à Narbonne où une centrale est déjà installée pour se rendre compte de ce que c'était. Les capteurs ne devraient pas dépasser les 2,20 mètres
de haut », explique Jean Michel précédant les craintes de pollutions visuelles. La centrale ne devrait pas voir le jour avant plusieurs mois, après la modification du PLU et la validation de
l'enquête publique.
Olivier Marino