Gestion municipale

Jeudi 4 février 2010 4 04 /02 /2010 14:35
J'ai le plaisir de vous faire savoir qu'après de longues semaines d'éclairage permanent , l'éclairage de l'intérieur du clocher, s'est éteint ce matin comme le reste de l'éclairage public.

Après la suppression du conteneur de l'Eglisonne, peut-être faut-il noter un début d'écoute de la mairie.

Merci donc à la mairie de lire ce blog
et parfois de tenir compte des observations, non farfelues, qui y figurent.
Arc-en-ciel-DSC_0084c2-W.jpg
Arc-en-ciel sur le village. Photo RDC

Déception et illusions perdues !
L'éclairage diurne est toujours en place
. La lampe a dû être déplacée, mais dès que la luminosité du ciel s'estompe l'éclairage est toujours là !

A suivre donc.



Par Casanova - Publié dans : Gestion municipale
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Mercredi 3 février 2010 3 03 /02 /2010 07:50
Bonjour,

Certains lecteurs n'arrivent pas à lire les fins de phrase de l'article 293.

Je suppose que l'image est trop grande pour leur affichage. Il faut utiliser l'ascenseur horizontal.

Sinon voici mes commentaires ci-dessous.
Malgré leur apparence.
Merci de reconnaître qu' "a priori"  cet "ensemble de matériaux", avec une benne à ordures, ressemble à s'y méprendre à une décharge. Les tuyaux en fonte et les ferrailles ne me semblent pas constituer des matériaux de nivellement.

Laissée à l'abandon depuis plusieurs années.
Cette observation est pour le moins nébuleuse, puisque vous êtes maire depuis 2001 (soit il y a 9 ans). Notons que cette parcelle avait été préservée de l'urbanisation, par une de mes municipalités, dans l'attente de l'implantation d'un équipement public.

Ce nouvel espace plan pourra être utilisé au mieux par le service technique municipal.
Cette future affectation est discutable, car elle va entraîner un charroi sous les fenêtre de villas de l'Eglisonne (je ne suis pas concerné) et entraîner une nouvelle dispersion irrationnelle (et semble-t-il non réfléchie) des services techniques municipaux.
Cependant, puisque vous voulez aménager cette aire (à juste titre) pourquoi ne pas y implanter l'extension de la salle polyvalente et la cantine scolaire ?
Les services techniques pouvant être installés (et regroupés) plus judicieusement ailleurs.

Espérant vous avoir rassuré.
Je ne demandais pas à être rassuré, mais me faisais l'écho des inquiétudes de nombreux habitants, peu enclins à vous écrire, par crainte de "représailles" (?)*. Cependant, vous avez répondu indirectement à ma question : il n'y a pas eu d'autorisation préfectorale pour l'implantation d'une décharge, au cœur de l'Eglisonne et chacun peut se réjouir de sa disparition prochaine.

* Pour ma part, un pouvoir sans contre-pouvoir est suspect et "la démocratie ne s'use que si l'on ne s'en sert pas."
Par Casanova - Publié dans : Gestion municipale
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Mardi 2 février 2010 2 02 /02 /2010 16:32
Dans l'article n° 288 du 18 janvier 2010, j'ai publié une lettre (assortie d'un plan et de photos) adressée à la mairie, pour signaler l'existence, depuis des mois, d'une décharge au cœur même du quartier de l'Eglisonne et demander l'arrêté autorisant cette décharge en site incongru.

Je viens de recevoir la réponse suivante du maire d'Ampus. Cette réponse, comme c'est souvent le cas avec la mairie, est pour le moins discutable. Aussi je l'ai très succinctement discutée, dans une réponse à la réponse ! Pour votre complète information vous la trouverez ci-dessous. Notre Maire, lui, trouvera ce courrier à son retour, puisque d'après la rue, il serait en déplacement
.

Sachez aussi que le conteneur bleu, siglé CAD, a été enlevé. Confirmant l'intérêt de réagir devant des anomalies de gestion municipale.
Décharge-de-l'Eglisonne-010110-W


Par Casanova - Publié dans : Gestion municipale
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Mercredi 27 janvier 2010 3 27 /01 /2010 14:14
Petit rappel,

Au moment où le Maire, suivi unanimement par le Conseil Municipal, vient de décider d'implanter une partie des activités de l'école hors du périmètre protégé de l'école (sans circulation automobile), il est nécessaire de rappeler le Principe de précaution figurant désormais dans la Constitution française (article 5).
 
D'après le Président de la République :
"...c'est un principe d'action et d'expertise pour réduire l'incertitude. Le principe de précaution n'est pas un principe d'interdiction, c'est un principe de vigilance et de transparence. Il doit être interprété comme un principe de responsabilité".
 


Ainsi il est de la responsabilité des élus d'analyser le choix d'un site d'implantation pour l'extension de l'école. Il appartient aux élus d'examiner les conséquences prévisionnelles dans le temps de leurs décisions.

Alors que des terrains contigus à l'école actuelle sont disponibles, propriétés de la commune, pour permettre une implantation harmonieuse d'une extension de l'école et de ses annexes (aussi bien un centre aéré, qu'une cantine), construire des bâtiments pour les enfants, qui auront de ce fait à traverser au moins deux fois par jour la route, engage la responsabilité à long terme des décideurs.

Pour ma part, n'ayant pas le pouvoir de changer les décisions irrationnelles du Conseil Municipal, je dégage ma responsabilité personnelle de cette situation. Personne ne pourra demain ou dans dix ans venir me reprocher de ne pas avoir tiré à temps la sonnette d'alarme et d'avoir oublié de rappeler le Principe de précaution.

A bon entendeur salut. Le temps (la durée) n'efface ni la responsabilité pénale, ni surtout la responsabilité morale.

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Samedi 23 janvier 2010 6 23 /01 /2010 18:04
Information de la mairie et des "administrés. Depuis plusieurs mois une lampe à l'intérieur du clocher est allumée nuit et jour, 24heures/24. Le jour il faut une position particul!ère pour s'en rendre compte (les photos ci-dessous ont été prises avec un puissant téléobjectif : 1500mm).
Peut-être que la mairie pourrait trouver le moyen qu'elle ne soit éclairée que la nuit.
Qu'en pensez-vous ?
Divers 0063-WDivers 0068-w
Le jour                                                                   la nuit
Par Casanova - Publié dans : Gestion municipale
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Lundi 18 janvier 2010 1 18 /01 /2010 11:39
Ayant été sollicité, pour tenter de fournir une explication, au sujet d'une décharge "sauvage" à l'Eglisonne, je viens d'écrire au Maire la lettre suivante :

Monsieur le Maire,

Depuis bientôt une année, une décharge (conteneur à végétaux, gravats et matériaux de construction-voir photos jointes) a été installée au cœur du quartier résidentiel de l'Eglisonne sur la parcelle cadastrée n° 274. Elle est insérée entre des habitations et la salle polyvalente , elle jouxte le terrain de sports de l'école (voir le plan cadastral ci-dessous).

Les riverains, dont je suis, ont cru un temps qu'il s'agissait d'un entrepôt provisoire de matériaux pour les travaux municipaux et ne se sont pas manifestés.

Aujourd'hui force est de constater que la situation perdure, que les riverains sont soumis à des nuisances permanentes (en particulier poussières et feuilles volantes).

Comme vous le savez, le code de l'environnement et les textes réglementaires de 2006, prévoient qu' un arrêté préfectoral doit autoriser ce type d'installation.

Je vous serais obligé de bien vouloir me communiquer, à mes frais, une copie de cet arrêté ou de votre propre arrêté décidant de cette curieuse implantation.

Avec mes salutations distinguées.
Décharge-Eglisonne2-2Décharge-DSC 0643-W
Décharge-DSC 0651-W

Par Casanova - Publié dans : Gestion municipale
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Jeudi 7 janvier 2010 4 07 /01 /2010 08:30

Le Conseil municipal de la commune d’Ampus-Var en date du 01 décembre 2009 a délibéré . DCM n° 2009/77, demandant l’autorisation de défrichement pour l’installation d’une centrale photovoltaïque au bois de Prannes.

 

"Monsieur le Maire rappelle qu’un projet de parc photovoltaïque est en cours au
lieudit « Le Bois de Prannes » sur la Commune d’Ampus, sur les parcelles
cadastrées section D numéros 18, 19, 24, 25, 27, 33, 34 et 405.
Il rappelle que le projet nécessite le défrichement de la zone et demande au
Conseil Municipal de bien vouloir en délibérer.
Le CONSEIL MUNICIPAL, ouï l’exposé du Maire et après avoir délibéré,
à l’unanimité,
Considérant la nécessité de procéder au défrichement d’une surface de 30
hectares à prendre sur lesdites parcelles cadastrées section D numéros 18, 19,
24, 25, 27, 33, 34 et 405, lieudit « Bois de Prannes », pour la réalisation du
projet de création d’un parc photovoltaïque,
Considérant qu’il y a lieu d’effectuer une demande d’autorisation de
défrichement qui sera soumise à l’accord de la DDEA,
AUTORISE le Maire à signer la demande d’autorisation de défrichement,
PRECISE que cette demande d’autorisation de défrichement sera réalisée par
l’ONF, pour le compte de la Commune."


Ainsi, la mairie reste sourde aux demandes de recherche de sites alternaifs (qui existent) par l'association pour la défense du patrimoine forestier d'Ampus (ADEPFA), présidée par Mme Françoise PEYROT.

 

Il faut donc noter que cette décision municipale n° 2009/77 est entachée de plusieurs illégalités, en particulier de forme.

1 - Aucune mention du coût d’opération ne figure dans la délibération.

2 - Aucune mention de l’inscription du coût du montage du dossier au budget municipal, n’est indiqué.

3 – Cette opération n'est pas inscrite au budget communal.

Il n’est donc pas possible de se rendre compte de l’impact de cette opération sur les finances communales.

4 – Aucune mention des critères de choix de l’opérateur n’est mentionnée. Il est seulement stipulé : « …PRECISE que cette demande d’autorisation de défrichement sera réalisée par l’ONF, pour le compte de la Commune ». Ni les modalités de l’étude, ni les délais de réalisation, ni son coût, ni une éventuelle mise en  concurrence ne sont indiqués, ni même la signification du sigle ONF.

5 - Aucune mention de l’autorité à qui est demandée l’autorisation de défrichement. Il est seulement stipulé : « Considérant qu’il y a lieu d’effectuer une demande d’autorisation de défrichement qui sera soumise à l’accord de la DDEA ». Ce sigle, DDEA, n’est pas explicité, or, c’est M. le Préfet qui autorise, ou refuse, le défrichement. La délibération est donc ambiguë.

6 – Cette délibération, demandant l’autorisation de défrichement, a été prise 20 jours seulement après la délibération approuvant le POS. La Commune d’Ampus n’a donc pas attendu les délais réglementaires pour le contrôle de légalité (elle n'y est cependant pas obligée).

7 – Aucune mention de l’inventaire naturaliste en cours, pour un montant de 114 000 euros, ne figure dans la décision municipale.

 

Force est de constater que cette décision municipale est approximative, sans rigueur, ni technique ni budgétaire et apparemment prise dans la précipitation, plus proche du style télégraphique (on pourrait dire aujourd’hui plus proche du style SMS). Cette délibération n’est ni transparente, ni éclairante pour le public.

 

Cette délibération ne devrait pas prospérer sous cette forme.

Elle a d'ailleurs été soumise par l'ADEPFA à la censure du Tribunal administratif.

 

Pour ma part, je crois que nous devons être indulgents. En effet, le maire Patrick VIGNAL n'est maire que depuis 9 ans et son adjoint aux finances Hugues MARTIN n'a été au conseil municipal que pendant 21 ans. Peut-être doivent-ils encore "travailler" pour apprendre à rédiger une délibération.

Soyons compréhensifs ! Je les encourage à aller se faire former au Centre de la fonction publique territoriale. Nos impôts servent aussi à cela.


Par Casanova - Publié dans : Gestion municipale
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Mercredi 6 janvier 2010 3 06 /01 /2010 14:37

Le projet de parc photovoltaïque d'Ampus comparé à quelques autres du même type et de mêmes contextes, dans le département du Var et en PACA

  • Parc de Vinon/Verdon réalisé dans le Var : surface de 10 hectares pour une commune de 4500 habitants.
  • Parc de Callian en projet dans le Var : surface de 14 hectares pour une commune de 3000 habitants.
  • Puyloubier (13) : surface de 6,5 ha  dans d'anciennes carrières d’argile, pour une population de 1700 habitants. Projet porté par EDF-EN, comme à Ampus. 23 millions d'euros d'investissement. Loyer pour la commune : 140 000 €/an.


  • Projet d'Ampus : surface de 30 hectares, en forêt protégée, pour une population de 850 habitants.  Projet porté par EDF-EN. 42 millions d'euros d'investissement. Loyer pour la commune 90 000 €/an.


  Le projet d’Ampus apparaît ainsi 2 à 5 fois plus vaste, pour une population 2 à 5 fois moindre, avec un loyer considérablement réduit (50%) par rapport à Puyloubier ou Signes, par exemple.


A méditer.

Chercher l'erreur.



Par Casanova - Publié dans : Gestion municipale
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Vendredi 25 décembre 2009 5 25 /12 /2009 19:28

 1 - Je viens de prendre connaissance de la délibération du Conseil Municipal, n° 2009/81,  du 1er décembre 2009, prise à l’unanimité. En voici le texte intégral et public.

Je ne suis manipulé par personne pour écrire cet article (pas plus que pour les autres).

 

"EXTRAIT DU PROCES-VERBAL DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL - Séance du 1er décembre 2009 - DCM n° 2009/81"

 

« Suite à la notification du jugement du Conseil des Prud’hommes de Draguignan dans l’affaire RICCI contre la Mairie d’Ampus, le Maire propose au Conseil Municipal d’interjeter appel de la décision auprès de la Cour d’Appel d’Aix en Provence.

 

Il propose de mandater Maître Jean-Louis BERNARDI, avocat au barreau de Draguignan pour représenter la commune.

 

Le CONSEIL MUNICIPAL, ouï l’exposé du Maire et après avoir délibéré, à l’unanimité,

APPROUVE la mise en place de la procédure d’appel

 

MANDATE Maître BERNARDI pour représenter la commune d’Ampus et effectuer

toutes les diligences nécessaires à cette procédure d’appel. »

 

2 – Pour le public non averti, il y a une « affaire Ricci » c’est tout. S’agit-il d’un différent avec un fournisseur ? D’un retard de paiement de la mairie ? Bref, le brouillard et les supputations.

 

3 – Ainsi, la délibération ne fait aucune mention du contenu du jugement objet de la décision d’appel auprès de la Cour d’Appel d’Aix en Provence. Mais de façon nébuleuse de « l’affaire RICCI ». En fait il s’agit d’une affaire que l’on peut qualifier de licenciement abusif. Voici donc quelques attendus du jugement :

 

« la commune d’Ampus ne conteste pas le caractère irrégulier de cette procédure de licenciement. »


Le juge

« …CONSTATE que la procédure de licenciement diligentée par la commune d’Ampus à l’encontre de C.R. est irrégulière. »

« …DIT que le licenciement de C.R. est dépourvu de cause réelle et sérieuse. »

« …ORDONNE l’exécution provisoire du présent jugement. »

 

 

4 - Quelques rappels de droit.

 

1° Le maire, chef du personnel communal, nomme, par arrêté, les agents aux emplois créés par le conseil municipal. Il a le pouvoir de les sanctionner et de les révoquer conformément aux statuts.

 

2° Ainsi, la procédure d’appel (décidée par le Conseil municipal le 1er décembre 2009) ne concerne le conseil municipal que pour les fonds qui seront engagés par la procédure. Or aucune mention de montant des honoraires à engager ne figure dans cette délibération.

 

3° Le vote « à l’unanimité » engage tous les membres du Conseil municipal. Il s’agit alors d’une confusion des pouvoirs du Conseil municipal. A moins que le fait de faire voter le Conseil municipal n'ait pour résultat pratique de diluer la responsabilité personnelle du Maire. Y a-t-il eu manipulation du Conseil ?

 

Le Conseil devait voter sur la mise en place des crédits nécessaires à l’appel, mais n’est pas concerné par la sanction infligée, à tort par le Maire, tel qu’il ressort du jugement de première instance.

 

 

5 - Quel est alors le sens de ce pourvoi en appel ?

 

Les Conseillers municipaux étaient-ils au fait de la situation ? Ont-ils eu le dossier en mains ? ou se sont-ils fait abuser par le Maire ? Savent-ils que le Maire est seul responsable de la gestion du personnel et de ses conséquences ? Le Conseil municipal ayant voté, à l’unanimité, l’introduction d’un recours en appel, sait-il que ce recours n’est pas suspensif et qu’en attendant la commune doit payer ? Le Conseil municipal ayant pris fait et cause pour le Maire sait-il que ce recours en appel handicape considérablement la personne concernée (C.R.) pour la recherche d’un nouvel emploi ? Sait-il que les indemnités fixées par le juge sont du même ordre de grandeur que les honoraires de l’avocat choisi par le Maire, d’abord pour tenter de justifier son erreur de procédure et ensuite pour interjeter appel ?

 

Pourquoi donc cet appel, dénué d'humanité, auprès de la Cour d’Appel d’Aix en Provence ?

 

Il convient alors de rappeler que devant le juge « la commune d’Ampus ne conteste pas le caractère irrégulier de cette procédure de licenciement. » Alors quelles sont les raisons, non publiées dans la DCM, de cet appel ? Le Maire renoncera-t-il à reconnaître les torts reconnus en première instance, devant le Tribunal d’Aix en Provence ? Quel est l’intérêt pour la Commune d’interjeter appel ?

 

Il faut le répéter.

Quelles sont les raisons de ce pourvoi en appel ?

Y a-t-il eu manipulation du Conseil ?

Quelles sont aussi les vraies raisons du licenciement abusif de la personne impliquée ?

Y avait-il une relation avec les élections ?

Qui a été recruté à la place de cette personne licenciée abusivement ?

 

Qui peut répondre à ces questions pour éclairer notre lanterne ?


 

Il me semble que devant l’imprécision de la délibération ces questions devaient être posées, même sans espoir de réponse officielle (ce qui est habituel). Le contrôle démocratique impose cependant aux citoyens de veiller au bon déroulement des procédures, à l'équité et à la justice.

Pour ma part je suis persuadé (peut-être suis-je naïf), que si les conseillers municipaux avaient reçu toute l'information sur "l'affaire Ricci" (puisque c'est inscrit ainsi dans la DCM) au moins certains d'entre eux se seraient abstenus.


Pour ma part, des votes systématiquement "à l'unanimité", ne peuvent qu'être suspects.


15 personnes votant systématiquement à l'unanimité, pendant des mois et des années toutes les propositions du maire, me rappelle les votes du Parti communiste chinois ou du parlement roumain sous Ceaucescu. 

Par Casanova - Publié dans : Gestion municipale
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Vendredi 18 décembre 2009 5 18 /12 /2009 18:21
un commentaire vient d'être posté par Paul Clairet sur l'article 276 - Abus de pouvoir

Merci de tenir un site aussi bien documenté, j'ai constaté que vous aviez parlé de notre blog, abusdesmaires.canalblog.com que j'ai ouvert récemment dans le but de créer une synergie entre les citoyens abusés. Si vous visitez notre blog de chevillondemain.canalblog.com vous constaterez des similitudes sur nos problèmes. Comme quoi l'autocratie et les atteintes à la démocratie son légion dans notre pays dit des droits de l'homme.

Encore merci de mettre en avant ces dysfonctionnements en espérant qu'ils seront des enseignements utiles pour que les citoyens s'organisent entre eux face à des maires ou des élus de toutes sortes.

Paul Clairet

MERCI M. Clairet et bon courage.

Un fait est acquis, les tyranneaux (pas toujours éclairés) ne peuvent survivre (comme des poissons dans l'eau) que grâce à la passivité des citoyens et des conseillers municipaux.

Mais tout le monde est responsable y compris les parlementaires votant les lois, permettant les abus divers et variés.

Très prochainement un exemple (parmi d'autres) sera publié.
Par Casanova - Publié dans : Gestion municipale
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Ce blog est désormais destiné, sans grande prétention, à soulever des questions d'actualité à Ampus (village du Haut-Var) ou ailleurs.

En démocratie, les contre-pouvoirs sont exercés par la société civile, les associations et les citoyens, dans le cadre de la Loi.




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